On s’intéresse à un enfant (le de cujus) issu d’un mariage entre cousins germains et on dénombre ses ancêtres.
En utilisant la numérotation SOSA, le de cujus porte le numéro 1. Ses parents, numérotés 2 et 3, sont cousins germains.
Deux de ses grands-parents (ici 5 et 6) sont frère et sœur.
L’enfant n’a donc que 6 arrière-grands-parents : un arrière-grand-père, père à la fois de 5 et de 6, occupe deux places dans l’arbre, les places 10 et 12. Pour les mêmes raisons, une arrière-grand-mère occupe les places 11 et 13.
La génération 3 de l’ascendance du de cujus a ainsi perdu 25% de son effectif théorique (6 au lieu de 8). De même, la génération 4 comportera 12 ancêtres distincts (les pères et mères des 6 arrière-grands-parents de la génération 3) pour un total théorique de 16, soit encore 25% en moins.
Cette perte de 25 % sera donc la même pour toutes les générations suivantes. On parle d’un implexe de 25%.