Le logo reste celui des trois frères Marchand mais, avec ce mariage, on sort de la famille Marchand à proprement parler.
Fils de Philibert Folliet et de Caroline Rey, Léon Folliet naît en 1905 à Pugieu (Ain). Philibert Folliet est le frère de Joséphine Folliet, épouse de Rambert Marchand. Henriette Marchand, fille de Rambert, est donc la cousine germaine, côté maternel, de Léon (et non sa tante comme on le disait parfois dans la famille sans doute à cause de leur différence d’âge de 26 ans). Marie Marchand, sœur d’Henriette, est également cousine germaine de Léon Folliet
Mais attention, les cousins germains d’Henriette et Marie Marchand du côté paternel (Lucien Marchand, Marie-Louise Marchand, Loius Besson, François Guigue...) ne sont pas cousins germains de Léon Folliet.
Léon Folliet se marie une première fois avec Jeanne Buisson en 1929 à Lyon [1].
Fille d’Anthelme Baudier, Geneviève naît à Auxerre en 1921. Elle est l’ainée de six filles [2].
Léon Folliet et Geneviève Baudier se marient à Virignin. Les registres actuellement en ligne ne permettent pas d’accéder à leur acte de mariage.
Trois enfants naissent de cette union : Gérard, Monique et Michel Folliet. Ils venaient en vacances chez Henriette Marchand dans les années 1960. [3]
Michel Folliet habite aujourd’hui la maison d’Henriette Marchand, sur le chemin du Rhône, que Madeleine et ses sœurs ont fréquentée dans les années 1960.
L’identification des personnes présentes sur la photo repose sur des indications fournies par Simone Biolley.
Au deuxième rang :
Au troisième rang :
[1] Inscription en marge de l’acte de naissance de Lèon Folliet à Pugieu.
[2] Anthelme Baudier est né en 1891 à Traize près de Yenne. Lors du recensement de Virignin en 1936, Anthelme Baudier apparait à Saint-Blaise avec sa femme Jeanne Meuley (née en 1895 à Arnay-le-Duc en Côte d’Or) et avec ses six filles. Or, l’acte de naissance de Jeanne Meuley indique en marge la date de son mariage avec Anthelme Baudier le 23 janvier 1932 à Virignin. On en déduit que les quatre premières filles d’Anthelme, dont Geneviève, l’aînée, toutes nées à Auxerre avant 1932, sont issues d’un premier mariage. Les deux dernières, nées à Virignin en 1933 et 1935, ont pour mère Jeanne Meuley. Par ailleurs, lors de son mariage avec Anthelme, Jeanne était veuve de Joseph, frère aîné d’Anthelme.
Sont également recensés avec Anthelme, en 1936, à Virignin, son frère Jean-Marie et sa sœur Françoise nés à Traize ; ainsi que son frère Justin et sa sœur Eugénie nés à La Balme.
[3] Madeleine se souvient avoir eu l’occasion de jouer avec eux.